Dvořák choisit de clôturer cette symphonie n° 8 avec une suite de danses populaires tchèques. Deux trompettes annoncent un thème triomphant, prélude à un futur déferlement de joie.
Les violoncelles jouent une mélodie populaire expressive. Ce chant, de plus en plus marqué et rythmé, s’étoffe progressivement avec l’arrivée de nouveaux instruments.
Les autres cordes, contrebasses, violons et altos, entrent pour dialoguer avec les violoncelles, allant jusqu’à entraîner par la suite tous les instruments de l’orchestre.
Ah, Dvořák me fait danser !